AVERTISSEMENT :
Ceci n’est pas un article, mais un texte de fiction.
Son propos est délibérément cru, violent, et difficilement soutenable.
J’y ai choisi de me mettre dans la peau d’un tueur en série devant sa victime.
Âmes sensibles s’abstenir.
Il s’inscrit dans une réflexion personnelle que je mène sur la violence intériorisée.
Et qui sera réfléchie et analysée et complétée dans des articles ultérieurs.
Version audio
Version texte
– Moi, Guy Georges, je vais t’enculer puis je vais te déchirer, et je vais te regarder agoniser pendant que je jouis. Ensuite je te laisserai là.
Chut. Tais-toi. Arrête de faire ta mijaurée Tes cris ne changeront rien.
Laisse-toi faire, sinon ça va durer.
De toute façon, tu vas pas y échapper.
J’ai pas peur de la mort, de la prison : j’ai peur de rien.
Je vais prendre ce qu’il y a à prendre, ma petite pute. Mais avant, si tu veux : écris un message à tes enfants, si t’en as, à ton petit-copain, ou à tes parents .
Et après je te tuerai.
Sans haine contre toi, juste pour mon plaisir personnel, pour ma jouissance.
Chut.
J’aime pas les filles trop bavardes.
Regarde c’est mon couteau, il a déjà tranché des chattes. Bah oui parce que je vais t’ouvrir le ventre en fait. Quand ça sera bien humide, je vais remplacer ma bite par ce couteau et t’éventrer. Ça va fumer, ça sera chaud, tu vas t’évanouir.
Voilà ce qui va se passer.
C’est normal : c’est ce qu’on devrait faire à toutes les jolies filles tu vois, les filles à papa, les gentilles mamans.Tu dis rien ?
T’as peur ?
T’es joueuse ! Je vois….. tu veux gagner du temps en te taisant, ça c’est malin. J’aime. Ce qui m’ennuie c’est les filles qui pleurent trop vite et te supplient c’est trop facile, et du coup ça devient fade. J’ai besoin de plus. De ruse. D’intelligence. Que tu me pièges.
Que tu me fasses douter, et que tu puisses même croire que tu vas réussir à t’en sortir
Cet espoir la il est …excitant.
C’est comme l’ascenseur, tu vois. On va jouer à l’ascenseur. Tu montes, tu descends, tu remontes, tu redescends. A la fin soit tu arrives à m’échapper et à t’enfuir, ou à te cacher tout en haut dans le grenier à blé de mes parents.
Mais des fois, fausse joie, tu descends , tu crois que t’as enfin réussi à t’échapper, et la plouf : l’ ascenseur s’arrête, la porte s’ouvre et c’est moi.
J’ai dévalé les escaliers et je t’ai retrouvée.
Alors on remonte tranquillement ensemble.
T’avais pas prévu de mourir comme ça à 26 ans, hein Lauriane.
T’avais peut-être….des projets d’avenir ?
C’est ça de faire des études pendant des années, et de pas en profiter.
Regarde , ça c’est ton appart. Il est bien décoré. Et tu vas mourir dedans. Dans de beaux draps. Et le café sera chaud demain matin. Mais sans toi.
Après ta mort je prendrai une douche. J’irai pisser et je tirerai la chasse d’eau. Je me servirai dans ta cuisine de quoi me faire un repas, parce que j’ai toujours faim après, et puis je partirai tranquillement.
Peut-être que je me ferais attraper.
Toi en tout cas, t’en sauras rien.
L’histoire, elle va s’arrêter là pour toi.
Mais avant est-ce que tu veux boire quelque chose ?
Si tu as réussi à lire ce texte jusqu’au bout, je serai curieux de savoir ce que tu as ressenti à la lecture, et surtout, qu’est ce qui t’a fait aller jusqu’au bout.
Tes commentaires sont très importants, et m’aideront à mener une réflexion sur la violence que je mène actuellement. Parfois même, de nos échanges pourra naître un article.
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