Vous connaissez Paul ?

Paul, c’est ce type que vous croisez, et qui vous parle du livre génial qu’il a envie d’écrire depuis des années, et qui va influencer le monde.

Pour l’instant, il n’a encore rien écrit :

« J’ai pas le temps, faut que ça mûrisse, c’est pas encore le moment ».

Et quand vous recroisez Paul, deux ans plus tard, il vous reparle encore de son livre génial qu’il a envie d’écrire.

Et vous comprenez qu’il ne l’écrira peut-être jamais.

Mais vous savez quoi ?

Paul a raison.

Oui, bien sur, Paul mourra peut-être comme un inconnu dont personne n’a jamais entendu parler. Ou avec des excuses du type « j’ai manqué de temps » ou « au fond, j’avais rien à dire d’intéressant ». 

Mais Paul aura réussi un truc important.

Car Paul le sait bien : le plus dur c’est pas de se lancer !

C’est ce qui vient après.

Paul ne connaitra ni la peur de la page blanche, ni la boule au ventre en travaillant sur son bouquin, ni la procrastination, ni même la déprime de stagner sur son livre, et d’être sur le point de l’abandonner.

Paul ne saura jamais ce que c’est que de se trouver nul ou illégitime face aux critiques.

Paul ne saura pas non plus ce que c’est que de pas être compris, de décevoir son père, sa femme, ou son mentor. Ou de passer pour un imposteur, un usurpateur.

Il ne saura pas non plus ce que c’est que de provoquer l’indifférence totale.

Paul ne sera jamais lu.

Il ne sera jamais un auteur.

Parce qu’il n’écrira jamais rien.

Mais au moins, Paul aura réussi à éviter tout cela.

Et il a bien raison.

Après tout, ce n’est peut-être pas si grave de rêver plutôt que d’agir.

Tant de livres ont déjà été écrits, et tant d’autres s’écriront. Et puis tout le monde n’a pas forcément quelque chose à dire.

Et vous, vous connaissez Paul ?

Ou peut-être que Paul, c’est vous.

Alors, si vous êtes comme Paul,  je voudrais vous dire qu’il y a une chose qui pourra rendre vous heureux :

C’est de renoncer volontairement et pour toujours à votre désir, en acceptant que vous ne raconterez rien au monde, que vous ne contribuerez à aucune création, et n’accomplirez aucun projet.

Et d’être ok avec ça.

Ça demandera un effort au début pour faire consciemment une croix sur vos rêves créatifs et l’illusion que vous auriez pu être un artiste doué, mais après cette étape, vous ressentirez la paix.

Paul pourra mourir rassuré sans que ses proches, ou ses enfants ne disent :

« On t’aimait, Paul. C’est triste de t’avoir senti malheureux et insatisfait pendant cette vie, sans avoir pu t’aider. C’est comme si tu avais rêvé d’accomplir quelque chose, et on ne saura jamais quoi. Espérons que tu puisses trouver la paix, là ou tu es maintenant »

Alors, si ce que vous lisez vous pique à l’intérieur, qu’il y a comme une part de vous qui résiste à tout ça, et qui dit

« Non, non, je ne veux pas renoncer ! C’est hors de question. Cette idée m’est insupportable ! »

 Si vous ressentez une pointe de colère, ou de tristesse, ou que vous entendez une petite voix à l’intérieur de vous, qui dit :

« Putain, mais pourquoi pas moi ? Pourquoi les autres ils le font, et pas moi ? Qu’est ce que j’ai de moins que les autres ? »

Il y a peut-être un dernier truc à faire. 

Osez aller au bout. Au moins, comme ça, vous saurez. Et même si le résultat est nul, vous serez fixé, et pourrez dire :

« Je l’ai fait. Et VRAIMENT, ce n’était pas mon truc. C’était pas pour moi. »

C’est ce qui peut vous arriver de pire.

Et ça soulage.

Mais attention.

En faisant cela, il y a un gros risque.

Il y a le risque que vous soyez surpris par ce que vous allez créer.

Il y a le risque que vous preniez du plaisir à surmonter les obstacles que rencontrent TOUS les auteurs, et que vous soyez fier de vous en vous regardant dans un miroir.

Il y a le risque que cela vous fasse progresser, et que cela vous donne envie de continuer.

Il y a le risque gagner en confiance et en estime de vous

Il y le risque de vous sentir utile, parce que des gens vont se reconnaître dans ce que vous écrivez. Que vous vous rendiez-compte que : « Ça valait la peine d’être raconté » et que cela donne du sens à ce que vous faites.

Et il y a un risque pire encore.

Celui de réussir, d’avancer, de contribuer, et d’avoir le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand que vous.

Voilà ce qui risque de se passer, si vous décidez d’agir.

Alors, si vous êtes prêts à prendre ce risque, j’ai une bonne nouvelle pour vous !

Lundi, je démarre la prochaine session de mon programme créatif  les « 5 minutes par jour » :  j’aurais pu l’appeler le déclencheur.
un véritable coup de boost, pour vous lancer, retrouver confiance, stimuler votre créativité, et vous mettre sur de bons rails pour avancer tout seul sur votre projet : vous pouvez encore réserver votre place. En trois semaines, vous constaterez déjà des premiers changements énormes dans votre pratique créative !

c’est par là.

Le programme des 5 minutes

Voilà l’offre que je voulais vous faire.